France, Davout flag Zagreb & attaque Charles
Bataille de Graz : Charles 9D contre Davout 15D
2 six, 1 cinq 3 six, 3 cinq ------- 3 de différence, c'est un rout.
La flotte impériale de Rotterdam réussit l'exploit de faire reculer la flotte anglaise en Mer du Nord, crucial pour l'empêcher de piocher 2 cartes
Anglais, il y a un gros risque que le tour se termine, la réserve doit être utilisée, 6 CP. Attaquer Madrid ou pas ? Trop risqué, et le français a les moyens de réagir (une carte & 5 cp). L'option diplomatique est choisie, 5 cp permettent de faire venir la Suède dans la coalition. Avec le dernier CP la troupe de Naples marche sur Rome.
Le Russe non plus ne veut risquer l'affrontement, et se contente de construire une troupe avec 3 CP.
Le suédois pioche.
France. La pioche du suédois va générer un tour de plus, Napoléon pioche avec une ressource. 5 CP.
Prague flaggée. Massena rejoint Vienne pour se mettre sous les ordres de Lannes. Napoléon attaque Kutuzov qui se replie, une garnison française est postée à Budapest. Plus rien ne semble pouvoir arrêter l'Empereur.
L'Autriche utilise sa ressource car sinon elle va la perdre. Le Français menace sa zone polonaise, c'est à dire les Associates Duchies, qui sont conservés au moment de la conquête ce qui est très facheux. Après vérification, l'Autriche peut se soumettre à la France, et propose 4 Duchés dont 2 avec point de victoire : Venise, Tyrol, Salzbourg, Linz. L'offre est acceptée ! Kutuzov doit se regrouper avec 3 unités, John qui défendait le Tyrol également. La France obtient une ressource en réparations.
La Suède pose "Emperor Commands" qui donne +1 key, ce qui lui permettra de piocher 2 cartes au prochain tour !
France, 5 cp. Davout fonce en Italie afin de déloger la force anglaise à Rome. Il perd une troupe après une marche forçée.
Autriche, 6 CP, permet de récupérer Charles.
France, 2 CP. Davout détruit la force anglaise à Rome en y cédant lui-même une unité. Naples est flaggée dans la foulée.
Pour l'Anglais ce fut pénible avec une ressource et une carte devant être abandonnées et cette bataille dans la Mer du Nord qui le prive de 2 précieuses cartes.
A contrario, le Français a jouit d'excellentes cartes, notamment pour le combat, et il faut dire qu'elles furent les bienvenues, les jets pour Vienne ayant été moyens.
Pour l'Autrichien c'est très mitigé. Abandonner la réserve pour sauver Charles qui va finalement s'enfermer et se faire détruire ça laisse un goût amer. L'autre potion qui fut dure à avaler c'est l'absence d'aide significative des alliés, le Russe ayant préféré jouer diplomatique et l'Anglais a vu sa marge de manœuvre être très réduite.
Pour le Russe enfin, c'est plutôt un bon tour puisqu'il obtient un allié précieux, qui empêche de nombreuses cartes gênantes de s'enclencher, lui fournit 3 cartes (2 + pioche de la réserve) et un point de victoire.
France, Anglais et Russe sacrifient une carte, + "Europe Exhausted" qui met +1 au jet. La paix en Europe ? Non (le 6 mettait fin à la partie).
Changement de camp ? non.
Renforts et déploiement
La France construit 2 flottes à Brest. Massena est envoyé au sud de Madrid avec Castaños.
Wellington apparait à Londres, et sous la menace franco-espagnole, Moore retourne à Cornwall, rejoint par un corps expéditionnaire suédois sous le commandement de Gustavus.
Kutuzov se redéploie à Belgrade.
La pioche
L'Autriche en tant que "subject neutral" peut remplacer sa main (3), par une main maximale (4) tout en remplaçant sa réserve par une carte piochée dans le deck, ce qu'il fait.